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22
GÉOMÉTRIE SUPÉRIEURE
Considérons une développable circonscrite ; nous pourrons la définir en exprimant u, v en fonction d’un paramètre t,
u = ϕ(t),
v = ψ(t);
alors le point (u, v) décrit une courbe de la surface, soit (c), et les plans tangents
à la surface aux divers points de (c) enveloppent la développable considérée. Le
plan tangent à la surface au point (x, y, z) est, X, Y, Z étant les coordonnées
courantes,
l (X − x) + m (Y − y) + n (Z − z) = 0;
la caractéristique est définie par l’équation précédente et par l’équation
dl (X − x) + dm (Y − y) + dn (Z − z) = 0
obtenue en différentiant la précédente par rapport à t, et remarquant que l’on a
l dx + m dy + n dz = 0.
Voyons quelle est la direction de cette caractéristique. Soient δx, δy, δz ses
coefficients de direction. Elle est tangente à la surface, donc on peut poser
δx =
∂x
∂x
δu +
δv,
∂u
∂v
δy =
∂y
∂y
δu +
δv,
∂u
∂v
δz =
∂z
∂z
δu +
δv;
∂u
∂v
en remplaçant X − x, Y − y, Z − z par les quantités proportionnelles δx, δy, δz,
on obtient
dl δx + dm δy + dn δz = 0;
or, on a
dl =
∂l
∂l
du +
dv,
∂u
∂v
dm =
∂m
∂m
du +
dv,
∂u
∂v
dn =
∂n
∂n
du +
dv;
∂u
∂v
donc la relation
dl δx = 0
s’écrit
∂l
∂l
du +
dv
∂u
∂v
∂x
∂x
δu +
δv
∂u
∂v
= 0.
Ordonnons par rapport à du, dv, δu, δv. Remarquons que l’on a
l
∂x
= 0;
∂u
d’où en dérivant par rapport à u
l
∂ 2x
+
∂u2
de même, la relation
l
∂l ∂x
= 0;
∂u ∂u
∂x
=0
∂v
CHAPITRE II.
donne
l
∂ 2x
+
∂v 2
23
∂l ∂x
= 0;
∂v ∂v
et
∂ 2x
∂l ∂x
+
= 0;
∂u ∂v
∂u ∂v
de sorte que la relation précédente s’écrit
l
(3)
l
∂ 2x
du δu +
∂u2
l
∂ 2x
(du δv + dv δu) +
∂u ∂v
l
∂ 2x
dv δv = 0.
∂v 2
Telle est la relation qui existe entre les coefficients de direction de la caractéristique et de la tangente à la courbe de contact. Elle serait visiblement la même
en coordonnées obliques, l, m, n étant alors les coefficients de l’équation du plan
tangent soit
(4)
E =
l
∂ 2x
,
∂u2
F =
l
∂ 2x
,
∂u ∂v
G =
l
∂ 2x
,
∂v 2
et
Ψ(du, dv) = E du2 + 2F du dv + G dv 2 .
(5)
On a, en particulier, quand on prend l = A, m = B, n = C :
∂ 2x
∂u2
∂x
E =
∂u
∂x
∂v
∂ 2y
∂u2
∂y
∂u
∂y
∂v
∂ 2x
∂ 2z
∂u2
∂u ∂v
∂z
∂x
,F =
∂u
∂u
∂z
∂x
∂v
∂v
∂ 2y
∂u ∂v
∂y
∂u
∂y
∂v
∂ 2x
∂ 2z
∂u ∂v
∂v 2
∂z
∂x
,G =
∂u
∂u
∂z
∂x
∂v
∂v
∂ 2y
∂v 2
∂y
∂u
∂y
∂v
∂ 2z
∂v 2
∂z
.
∂u
∂z
∂v
La relation précédente s’écrira alors
E du δu + F (du δv + dv δu) + G dv δv = 0,
ou
∂Ψ(du, dv)
∂Ψ(du, dv)
δu +
δv = 0.
∂ du
∂ dv
(6)
Cette relation est symétrique par rapport à d, δ ; il y a donc réciprocité entre la
direction de la tangente à la courbe de contact de la développable et la direction
de la caractéristique du plan tangent à cette développable. Ces deux directions
sont dites directions conjuguées.
Cherchons en particulier la condition pour que les courbes u = const., v =
const. forment un réseau conjugué. Alors, dv = 0, δu = 0 la condition est F = 0.
Remarque. On a
∂x
∂x
du +
dv,
∂u
∂v
∂x 2
∂x 2
∂ 2x
∂ 2x
∂ 2x
d2 x =
d u+
d v + 2 du2 + 2
du dv + 2 dv 2 .
∂u
∂v
∂u
∂u ∂v
∂v
dx =
24
GÉOMÉTRIE SUPÉRIEURE
On en conclut, à cause de
l
∂x
= 0,
∂u
l
∂x
= 0,
∂v
l’identité
l d2 x =
l
∂ 2x
∂u2
c’est-à-dire
du2 + 2
l
∂ 2x
∂u ∂v
du dv +
l
∂ 2x
∂v 2
dv 2 ,
l d2 x = Ψ(du, dv).
Formules fondamentales pour une courbe de la surface.
4. Éléments fondamentaux d’une courbe de la surface.
Nous considérerons en un point de la courbe le trièdre de Serret, et un trièdre constitué par la tangente à la courbe, la normale MN à la surface, et la
tangente MN à la surface qui est normale à la courbe. Nous choisirons les directions positives de telle façon que le trièdre ainsi constitué ait même disposition
que le trièdre de Serret, de sorte que si l, m, n sont les cosinus directeurs de la
normale à la surface, a1 , b1 , c1 de la tangente à la surface normale à la courbe,
on ait
a b c
a1 b1 c1 = 1.
l m n
Les deux trièdres considérés ont un
axe commun et de même direction, qui
N(l, m, n)
est la tangente. Pour les définir l’un par
B(a′′ , b′′ , c′′ )
rapport à l’autre, il suffira de se donner
l’angle d’une des arêtes de l’un avec l’une
des arêtes de l’autre. Nous nous donneθ
rons l’angle dont il faut faire tourner la
P(a′ , b′ , c′ )
demi-normale principale MP pour l’ameM
T(a, b, c)
ner à coïncider avec la demi-normale à la
N′ (a1 , b1 , c1 )
surface MN, le sens positif des relations
étant défini par la direction positive MT
de l’axe de rotation. Cherchons les relations qui existent entre les cosinus directeurs des arêtes de ces trièdres. Quand on passe de l’un à l’autre, on fait en
réalité une transformation de coordonnées autour de l’origine dans le plan normal. Considérons le point à l’unité de distance de M sur MN(l, m, n). Rapporté
au système PMB il a pour coordonnées cos θ et sin θ, donc
(1) l = a cos θ + a sin θ,
m = b cos θ + b sin θ,
n = c cos θ + c sin θ;
de même le point à l’unité de distance sur MN (a1 , b1 , c1 ) rapporté au système
PMB a pour coordonnées cos(θ − π ) = sin θ et sin(θ − π ) = − cos θ, donc
2
2
(1 ) a1 = a sin θ − a cos θ,
b1 = b sin θ − b cos θ,
c1 = c sin θ − c cos θ.
CHAPITRE II.
25
On aura donc, en faisant la transformation de coordonnées inverse
(2)
a = l cos θ + a1 sin θ, b = m cos θ + b1 sin θ, c = n cos θ + c1 sin θ,
a = l sin θ − a1 cos θ, b = m sin θ − b1 cos θ, c = n sin θ − c1 cos θ.
Différentions les formules (1) par rapport à s : il vient
dl
dθ
da
da
= (−a sin θ + a cos θ)
+ cos θ
+ sin θ
, et les analogues ;
ds
ds
ds
ds
da1
dθ
da
da
= (a cos θ + a sin θ)
+ sin θ
− cos θ
, et les analogues ;
ds
ds
ds
ds
d’où, en tenant compte des formules de Frenet et des relations (1), (2)
dl
1
dθ
a cos θ
= a1
−
−
ds
T ds
R
da1
a sin θ
1
dθ
−
= −l
−
ds
T ds
R
(3)
(4)
et les analogues;
;
(id.)
enfin nous avons
a
cos θ
sin θ
da
=
=l
+ a1
ds
R
R
R
(5)
;
(id.)
les formules fondamentales (3), (4), (5) permettent de calculer θ, R, T, c’està-dire de déterminer le plan osculateur, la courbure et la torsion de la courbe
considérée.
Formule pour
cos θ
.
R
En effet, les formules (5) nous donnent d’abord
cos θ
=
R
l
da
=
ds
l
d2 x
1
=
ds2
H
A
d2 x
,
ds2
c’est-à-dire, d’après le calcul du paragraphe précédent, et et en posant :
E =
A
∂ 2x
∂ 2x
,
F =
A
,
G =
∂u2
∂u ∂v
cos θ
1 E du2 + 2F du dv + G dv 2
=
,
R
H
ds2
ou enfin
(6)
cos θ
1 Ψ(du, dv)
=
.
R
H Φ(du, dv)
A
∂ 2x
,
∂v 2
26
GÉOMÉTRIE SUPÉRIEURE
Formule pour
sin θ
.
R
Les formules (5) donnent encore
sin θ
=
R
a1
da
=
ds
a1
d2 x
.
ds2
Remarquons que
a1
a
b
c
dx dy dz
d2 x
1
1
= 2 d2 x d2 y d2 z = 3 d2 x d2 y d2 z ;
ds2
ds
ds
l
m
n
l
m
n
pour calculer le déterminant, multiplions-le par
∂x
∂u
∂x
∂v
l
∂y
∂u
∂y
∂v
m
∂z
∂u
A2 + B2 + C2
∂z = Al + Bm + Cn =
= H;
H
∂v
n
le produit est
∂x
dx
∂u
∂x 2
dx
∂u
∂x
l
∂u
∂x
dx
∂v
∂x 2
dx
∂v
∂x
l
∂v
l dx
l d2 x ;
l2
or, nous avons
∂x
dx =
∂u
∂x
dx =
∂v
∂x
∂u
∂x
∂v
l dx =
∂x
∂x
du +
dv = E du + F dv,
∂u
∂v
∂x
∂x
du +
dv = F du + G dv,
∂u
∂v
∂x
∂x
l
=
l
= 0,
∂u
∂v
∂ 2x
∂x 2
∂x 2
∂ 2x
∂ 2x
d u+
d v + 2 du2 + 2
du dv + 2 dv 2
∂u
∂v
∂u
∂u ∂v
∂v
1 ∂E 2 ∂E
∂F 1 ∂G
= E d2 u + F d2 v +
du +
du dv +
−
dv 2 ,
2 ∂u
∂v
∂v
2 ∂u
∂x 2
∂x ∂x 2
∂x 2
∂ 2x
∂ 2x
∂ 2x
d x=
d u+
d v + 2 du2 + 2
du dv + 2 dv 2
∂v
∂v ∂u
∂v
∂u
∂u ∂v
∂v
∂G
∂F 1 ∂E
1 ∂G 2
= F d2 u + G d2 v +
−
du2 +
du dv +
dv .
∂u 2 ∂v
∂u
2 ∂v
∂x 2
d x=
∂u
∂x
∂u
CHAPITRE II.
27
Le produit précédent s’écrit donc
2
E du + F dv
2
Ed u + Fd v
1 ∂E 2 ∂E
+
du +
du dv +
2 ∂u
∂v
0
F du + G dv
0
∂F 1 ∂G
−
∂v
2 ∂u
dv 2
F d2 u + G d2 v + . . .
l d2 x
0
1
ou
1 ∂E 2 ∂E
∂F 1
du +
du dv +
−
2 ∂u
∂v
∂v
2
−
∂G
∂F 1 ∂E
−
du2 +
du dv +
F d2 u + G d2 v +
∂u 2 ∂v
∂u
E d2 u + F d2 v +
∂G
dv 2 E du + F dv
∂u
.
1 ∂G 2
dv F du + G dv
2 ∂v
Ce déterminant peut se décomposer en deux, dont le premier est
−
E d2 u + F d2 v E du + F dv
= H2 (du d2 v − dv d2 u),
F d2 u + G d2 v F du + G dv
et on a finalement
(7)
1
sin θ
=
R
H ds3
− H2 (du d2 v − dv d2 u)
1 ∂E 2 ∂E
∂F 1 ∂G
du +
du dv +
−
dv 2 E du + F dv
2 ∂u
∂v
∂v
2 ∂u
−
∂G
1 ∂G 2
∂F 1 ∂E
−
du2 +
du dv +
dv F du + G dv
∂u 2 ∂v
∂u
2 ∂v
Formule pour
.
1
dθ
− .
T ds
Enfin la formule (4) nous donne
1
dθ
−
=
T ds
a b
c
dx dy dz
dl
1
1
dl dm dn = 2 dl dm dn ;
a1
=
ds
ds
ds
l m n
l m n
pour calculer le déterminant, nous le multiplierons encore par le même déterminant H. Le produit sera,
∂x
dx
∂u
∂x
dl
∂u
∂x
l
∂u
∂x
dx
∂v
∂x
dl
∂v
∂x
l
∂v
l dx
E du + F dv F du + G dv 0
∂x
∂x
l dl =
dl
dl
0 .
∂u
∂v
0
0
1
l2
28
GÉOMÉTRIE SUPÉRIEURE
Nous avons d’ailleurs
l
∂x
= 0,
∂u
d’où en différentiant
dl
∂x
=−
∂u
l
∂ 2x
∂ 2x
dv
du +
∂u2
∂u ∂v
de même
dl
=−
1
(E du + F dv);
H
∂x
1
= − (F du + G dv);
∂v
H
le produit est donc
−
1 E du + F dv F du + G dv
,
H E du + F dv F du + G dv
et nous avons
(8)
dθ
1
1
E du + F dv E du + F dv
−
= 2 2
.
T ds
H ds F du + G dv F du + G dv
Les trois formules (6), (7), (8) permettent de calculer les trois éléments
fondamentaux θ, R, T.
EXERCICES.
8. On considère la surface S lieu des sections circulaires diamétrales d’une famille d’ellipsoïdes homofocaux. Déterminer sur S les trajectoires orthogonales des sections
circulaires qui l’engendrent.
9. Déterminer toutes les représentations conformes d’une sphère sur un plan. Trouver
celles qui donnent des systèmes connus de projections cartographiques.
10. Sur une surface S on considère une courbe C. Soit M un de ses points, MT la
tangente à C, MN la normale à S, et MN la normale à C qui et tangente à (S).
Montrer que les composantes de la rotation instantanée du trièdre (M.T N N) par
1
cos θ
dθ
rapport aux axes de ce trièdre sont les éléments fondamentaux
− ,−
,
ds
T
R
sin θ
.
R
11. Si les courbes coordonnées de la surface S, de l’exercice précédent, sont rectangulaires, soient MU et MV leurs tangentes, et soit ϕ l’angle (MU, MT). Déduire
de la considération des mouvements des deux trièdres (M.T N N) et (M.U V N),
lorsque M décrit C, une formule de la forme
du
dv
sin θ dϕ
−
= r1
+ r2 ;
R
ds
ds
ds
et donner les expressions de r1 et r2 . Généraliser, en supposant les coordonnées
u et v quelconques.
CHAPITRE III.
ÉTUDE DES ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DES COURBES
D’UNE SURFACE.
Courbure normale.
1. Reprenons la première formule fondamentale
cos θ
1 E du2 + 2F du dv + G dv 2
=
,
R
H E du2 + 2F du dv + G dv 2
cos θ
ne dépend que du
les différentielles secondes d2 u, d2 v n’y figurent pas ;
R
cos θ
dv
, c’est à dire de la direction de la tangente,
est le même pour
rapport
du
R
toutes les courbes de la surface tangentes à une même droite. Considérons alors le
centre de courbure C sur la normale principale MP ; si on prend pour axe polaire
N
K
P
C
θ
M
′
N
la normale MN à la surface, et pour pôle le point M, R, θ sont les coordonnées
polaires du point C. L’équation
cos θ
= const.,
R
représente un cercle ; le lieu du point C est un cercle, ce qu’on peut encore voir
comme il suit ; considérons la droite polaire, elle est dans le plan normal à la
courbe, donc elle rencontre la normale MN à la surface en un point K, et nous
avons
R = MK cos θ,
ou
R
.
cos θ
MK est constant, donc les droites polaires de toutes les courbes d’une surface
passant par un même point M de cette surface et tangentes en ce point à une
même droite rencontrent en un même point K la normale en M à la surface. Le
lieu des centres de courbure de toutes ces courbes est le cercle de diamètre MK
(cercle de Meusnier). En particulier supposons θ = 0, la normale principale se
confond avec la normale à la surface, le plan osculateur passe par la normale,
MK =
30
GÉOMÉTRIE SUPÉRIEURE
il est normal à la surface. Coupons la surface par ce plan, K est le centre de
courbure en M de la section, soit Rn le rayon de courbure, nous avons
cos θ
1
=
,
R
Rn
d’où
R = Rn cos θ.
D’où le Théorème de Meusnier : Le centre de courbure en M d’une courbe tracée
sur une surface est la projection sur le plan osculateur en M à cette courbe du
centre de courbure de la section normale tangente en M à la courbe.
Le Théorème est en défaut si
Ψ(du, dv) = E du2 + 2F du dv + G dv 2 = 0.
cos θ
= 0, R est en général infini. La formule devient complètement inAlors
R
déterminée si on a en même temps cos θ = 0, alors la normale principale est
perpendiculaire à la normale à la surface, le plan osculateur à la courbe est
tangent à la surface. Les deux tangentes qui correspondent à ce cas d’exception s’appellent les deux directions asymptotiques (correspondant au point M
considéré).
Le Théorème est également en défaut si
Φ(du, dv) = E du2 + 2F du dv + G dv 2 = 0;
alors
que
cos θ
est infini, R est nul en général. La direction de la tangente est telle
R
dx2 + dy 2 + dz 2 = 0
c’est une droite isotrope du plan tangent. Il y a donc deux directions isotropes
correspondantes à chaque point M de la surface.
Variations de la courbure normale.
2. Le Théorème de Meusnier nous montre que, pour étudier la courbure
des diverses courbes passant par un point d’une surface, on peut se borner à
considérer les sections normales passant par les différentes tangentes à la surface
au point considéré.
Nous avons
1 E du2 + 2F du dv + G dv 2
1
.
=
Rn
H E du2 + 2F du dv + G dv 2
Considérons dans la plan tangent en M les tangentes MU, MV aux courbes
coordonnées v = const. et u = const. qui passent par M, et considérons le trièdre
constitué par MU, MV et la normale MN à la surface : les cosinus directeurs des
axes sont
dx
∂x du
1
=
=√
ds
∂u ds
E
dx
∂x dv
1
MV :
=
=√
ds
∂v ds
G
MN :
MU :
∂x
1 ∂y
1 ∂z
=l , √
=m , √
=n ,
∂u
E ∂u
E ∂u
∂x
1 ∂y
1 ∂z
=l , √
=m , √
=n ,
∂v
G ∂v
G ∂v
l,
m,
n.